Dans cet élan literaire je te suis toi qui me précéde
tout d'abors une histoire pour réfléchir:
" Il était une fois un garçon avec un sale caractère.
Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter un
dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience et
se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour, il en planta 37 dans la barrière.
Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler et le
Nombre de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour.
Il avait découvert qu'il était plus facile de se contrôler que
de planter des clous...
Finalement arriva le jour où le garçon ne planta pas le moindre clou dans la
barrière. Alors il alla voir son père et lui dit que pour ce jour, il n'avait pas planté de
clou. Son père lui dit alors d'enlever un clou dans la barrière pour
chaque jour où il n'aurait pas perdu patience.
Les jours passèrent et finalement, le garçon put dire à son père
qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière.
Le père conduisit son fils devant la barrière et lui dit: "Mon fils, tu
t'es bien comporté, mais regarde tous les trous qu'il y a dans la
barrière. Elle ne sera plus jamais comme avant. Quand tu te
disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque chose de méchant,
tu lui laisses une blessure comme celle-là. Tu peux planter un
couteau dans un homme et après, lui retirer, mais il restera
toujours une blessure..."
Peu importe combien de fois tu t'excuseras, la blessure restera.
Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et l'encouragent.
Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin, ils te
soutiennent et ils t'ouvrent leur cœur .
artiste inconu
Maintenant je me lance moi
La Lune
Lune, protectrice noctambule
Lune, grande soeur des incrédules
Astre éclairant les douces nuits
Qui sans toi sont teintes de gris
Lune menant à l'addiction
On te suit qu'avec passion
Jusqu’au jour des désillusions
Où tu sois remis en question
Lune mon amie éternel
J’écris pour toi ce poème
Même si je doute, si je t'aime
Toi qui m'emmena hors du ciel
Je t'admire comme je te crains
Oublie moi, ça ne fait rien
Fille du soleil(cela remonte a loin)
Fille du soleil, vivant dans un monde de lumière
Une folle ombre a vu ton incroyable insouciance
Et recherche a trouvé d'ou tu tire ton essence
Et pour cela il refuse de regarder en arrière
Une jeune ombre enfermait dans sa sombre existence
Qui lui a fait oublié la beauté des sens
N’attend que toi pour la sortir de sa souffrance
Dans ton ombre il te regarde avec insistance
Car ses yeux se sont ouverts
L’ombre a cru à la lumière
Enfermé dans ses doux yeux
L’espoir renaît grâce à elle
Il ne vit que pour sa belle
Malgré le silence qui règne
Depuis j'ai arrèté d'écrire. Oublian le crissement de ce gros con de bic qui ne veut plus noicir les pages de mes cahier de brouillon. Maintenant que je rêve, je ne ressent plus cette volonté d'écrire, cette volonté de tout vous dire, dans cette mélancolie lié a une dose de désespoir que j'ai perdu...